Les bassins à cupule - L'environnement des bassins


déjà importante pour que le site se soit installé ici pour bénéficier des ressources de l’ estuaire de la Gironde, et partant, de celles de la mer. Par contre, pour commercialiser outre-mer la production des bassins, la distance ne parait pas excessive, surtout si l’on considère que
Grand dictionnaire universel du XIXe siècle/France


La France politique a pour limites : au N. et au N.-O., depuis un point du littoral de la mer du Nord, situé entre Dunkerque et Ostende, jusqu’au cap Saint-Matthieu, la mer du Nord, le pas de Calais et la Manche ; à l’O., depuis le cap Saint-Matthieu jusqu’à l’embouchure de la
Souvenirs d’un Naturaliste/11


maisons souveraines. Souvent ils furent en guerre avec les puissans comtes de Poitou et les ducs d’ Aquitaine . Plus tard, Chatelaillon compta parmi ses suzerains les Richemont et les Dunois. C’était alors une forte ville, entourée de hautes murailles et ceinte de fossés profonds. À
Les Rochelais à Terre-Neuve/1° L’Aunis et la Saintonge


Les entreprises de la pêche se trouvent liées à la conquête de la Nouvelle-France et aux expéditions glorieuses qui dotèrent notre pays, pour des années malheureusement trop courtes, de ces belles et riches colonies. Relater ces expéditions, quand la question de la pêche s’y trouve
Les Assemblées provinciales en France avant 1789/04


IV. PROVINCES DE L’OUEST. Dans la première de ces études, on a vu l’idée des assemblées provinciales proposée par Fénelon sous Louis XIV, reprise sous Louis XV par les économistes et en particulier par le marquis de Mirabeau, développée par Turgot dans un mémoire à Louis XVI
Les Rochelais à Terre-Neuve/Partie 2


Terre-Neuve. Dans le règlement fait le 24 juillet 1596 « pour les chais, calles et guabarres du port de La Rochelle », le dépôt de la morue, « poisson paré, paye, par mois, pour celluy du nort, 4 solz, pour celluy dù sux, 5 solz. » Puis dans la déclaration du corps de ville de
Histoire de France (Jules Michelet)/édition 1893/Moyen Âge/Livre 3


L’histoire de France commence avec la langue française. La langue est le signe principal d’une nationalité. Le premier monument de la nôtre est le serment dicté par Charles-le-Chauve à son frère, au traité de 843. C’est dans le demi-siècle suivant que les diverses parties de la
M. Dufaure (G. Picot)/01


éloquence, rappelant les jurisconsultes du XVIe siècle par sa verte rudesse, les solitaires de Port -Royal par son austérité; il a vécu dans les écoles, au barreau, dans les assemblées, depuis l’adolescence jusqu’au seuil de l’extrême vieillesse, sans que le fond de ses idées
Souvenirs d’un Amiral/II/01


la nature m’en eût donné l’étoffe. Le 18 mars 1796, je reçus l’ordre de me rendre à Rochefort pour y prendre le commandement d’un brick de vingt-deux canons. C’était une faveur bien flatteuse pour un jeune homme qui, sous le régime de l’ancienne marine, n’eût sans aucun