Notice biographique sur M. le docteur Aussant


NOTICE BIOGRAPHIQUE SUR M. LE DOCTEUR AUSSANT Ancien Président de la Société. Écrire la vie de M. Aussant, c’est retracer le mouvement intellectuel à Rennes pendant toute l’existence de cet homme dévoué aux progrès des sciences et des arts, et dont les jours furent consacré
Léopold Robert, sa vie et ses œuvres/02


circenses , sa devise éternelle. Tout lui est spectacle. Le Napolitain qui s’agite, qui court, qui danse , chante et crie sans cesse, et qui épuise tous les excès de la vie et du repos, est un spectacle pour l’étranger ; c’est l’étranger, au contraire, plébéien ou roi, qui est
Notes d’un musicien en voyage/Texte entier


L’éditeur de votre mari me prie d’écrire une préface à ce livre qui vous est dédié. Il n’était pas nécessaire que votre nom figurât à la première page pour nous convaincre que vous êtes digne de tous les témoignages d’affection et de reconnaissance. Tout ce que fait votre
Degas et l’impressionnisme


des chefs-d’œuvre, décelaient des recherches intéressantes, pendant que les Salons et les musées s’encombraient de fades répétitions du passé, de redites de moins en moins personnelles, de pastiches de plus en plus édulcorés. Ces pastiches lui paraissaient non pas seulement une
Du principe de l'art et de sa destination sociale/Texte entier


Deux jours avant sa mort, en présence de sa femme, Proudhon dictait à l'aînée de ses filles un écrit par lequel, après avoir désigné un certain nombre d’amis pour veiller, tant aux intérêts de sa famille qu’à la publication de ses œuvres, il nous chargeait spécialement et collectivement
La Peinture française à l’Exposition universelle


répartition des récompenses, la même inégalité en notre faveur, et, pour peu qu’on ait parcouru les musées d’Europe, on n’est pas éloigné de croire que, pour la période antérieure, la même comparaison eût donné les mêmes résultats, tant l’influence de l’école français
Les Musées et le mouvement des arts à Munich/01


informations qu’un récent séjour à Munich nous a permis d’y prendre non-seulement sur les musées , mais sur l’ensemble du mouvement de l’art contemporain. Il y a plus de quatorze ans déjà, un penseur éminent disait aux lecteurs de la Revue [1] ce que la situation, les hasards
Beaux-Arts - Le salon de 1853


Un des caractères de l’art français est la mobilité de sa physionomie. Lorsqu’on étudie l’histoire des phases qu’il a traversées, on ne peut y suivre, comme dans l’histoire des écoles étrangères, le développement continu de principes une fois adoptés. À peine a-t-on applaudi
Le Salon de 1848/01


l’art ne lui est pas favorable ; l’ordre qu’ont apporté dans ce chaos la direction des musées et le jury de classement nommé par les artistes a sans doute pour effet d’épargner au public quelques fatigues, il ne peut rendre supportable ce qui est mauvais, et, il faut en convenir
Le Salon de 1868


ruinent pas d’un coup de tête insensé la grande école de Paris, que les conservateurs de nos musées n’emploient pas leurs loisirs à dégrader les chefs-d’œuvre de Rubens et de Titien, que les encouragemens de l’état ne soient pas réservés par privilège à la médiocrité